Exposé.
Ce n’est qu’en France que, depuis 40 ans, un tel accent est mis sur les inégalités sociales face aux autres types d’inégalités : territoriales, sexuelles… L’art.1 de la loi de 1989 dit « Le système éducatif contribue à l’égalité des chances » alors qu’avant la guerre de 40, le credo était «Tu feras comme ton père mais mieux ». Lire le compte rendu →
Exposé.
La question doit répondre à trois types d’attitudes souvent rencontrées :
1. Le principe du CU était bon. L’échec tient aux modalités de mise en œuvre sur lesquelles il faut se pencher ;
2. C’est la fin d’une chimère. Le CU n’a jamais existé et n’a donc pas de réalité ;
3. Les acteurs n’y croient plus : les enseignants sont dans le doute même ceux qui s’étaient le plus engagés dans l’aventure à partir d’une réflexion sur l’échec scolaire. Mais cela touche aussi les familles favorisées ou non, ou les élèves eux-mêmes. Le phénomène de déscolarisation (rupture radicale de l’élève avec l’école) s’accroît : le CU en est responsable. Lire le compte rendu →
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